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24# LE DEVOIR DE L’ENFANT

Lecture 3 minutes

 

Aujourd’hui, je traiterai un sujet qui n’a rien avoir avec l’édition, le devoir de l’enfant vis-a-vis de sa famille, mais surtout de ses parents. Je publierais également le devoir du parent au même moment pour une certaine parité.

 

UN DEVOIR ?

 

J’ai eu envie de parler de ce thème, car autour de moi, plus en particulier mes amis proches, se forment diverses situations, toutes différentes de celle que je vis

Nous entendons, nous, jeunes, régulièrement de la bouche de nos parents que nous avons un devoir envers eux. Le respect, la gratitude, les aides variées et bien d’autres. Mais, ces quelques exemples ne sont pour moi que la première couche de ce que j’appelle le devoir de l’enfant. En effet, toutes ses « obligations » sont valables dans toutes les sphères de la société

À mes yeux, le devoir de l’enfant est plus large. Nous devons, en tant que tel, la vie à nos parents, un toit et de la nourriture. À satiété pour les plus chanceux d’entre nous. Nous leurs devons d’être bien éduqué. Nous leurs devons un avenir, des objectifs à réaliser, en somme une vie riche et bien entourée. Le devoir de l’enfant, dépassé la vingtaine, a été d’apprendre de leur parent tous les principes fondamentaux du savoir-vivre, le reste est à mes yeux hors sujet.

Alors, pourquoi ai-je dit au début que ma situation était totalement différente de mes amis ?

 

QUELQUES EXEMPLES 

 

J’ai la chance d’avoir une mère et un père qui partage aujourd’hui la même définition que moi, du devoir de l’enfant. Malheureusement, ce n’est pas le cas pour tous. Pour la majorité de mon entourage, le devoir de l’enfant se poursuit tout au long de sa vie. Dès le premier travail de celui-ci, les parents réclament une aide financière. Si l’enfant décide de prendre une voix professionnelle peu reconnue, il peut être dérouté et/ou conseillé fortement à revoir ses projets.

L’enfant doit des services et être présent. Il ne doit jamais oser reprendre les propos de ses parents de peur d’être incendié. Il doit toujours donner raisons aux plus âgés. En somme, de continuer à vivre, mais davantage pour l’épanouissement de ses parents ou de son entourage, que pour lui.

Puisqu’il n’en est pas ainsi dans la totalité des familles, et donc des mœurs et de nos traditions, nous pouvons donc statuer sur le fait que leurs définitions « du devoir de l’enfant », sont biaisées dès les racines. Contrairement à la mienne, valable dans la grande majorité des ménages.

Tous les exemples cités ci-dessus sont parvenus jusqu’à mes oreilles à force du temps qui s’écoule et ce n’est pourtant qu’une partie de ce que j’ai pu entendre.

 

UNE RÉCIPROCITÉ ?

 

Les parents font donc valoir leur prétendue supériorité de l’âge. De leur expérience de la vie pour modifier la définition de ses termes à leurs guises et en fonction du temps. Seulement, leur vision est-elle au moins réciproque à celle de l’enfant ?

S’il existe un devoir de l’enfant. Il y a forcément un devoir du parent légal. Ma vision est tout aussi arrêtée. Lisez le devoir du parent pour en avoir le cœur net.

 

CE QU’IL FAUT RETENIR

 

Le devoir de l’enfant est bien plus simple que ce que les parents souhaitent nous faire croire. Et, si vous ne me croyez pas, il existe tout un tas d’articles de loi qui attestent mes propos. Alors si vous pensez être abusés d’une quelconque manière que ce soit, en entendant le mot « devoir » à tout-va, faites valoir votre définition et pensez à leur expliquer la réciprocité.

 

Info + Chaque foyer à son éducation que je ne peux pas contester. Mais il faut admettre que des abus existent et c’est exactement pour ceux-là que j’ai eu envie de rétablir « ma » vérité. Je vous donne le lien vers le site du service public, sur l’exercice de l’autorité parentale.

 

J’espère avoir répondu à une ou plusieurs de tes questions, à très bientôt sur mes ARTICLES !